Avis réglementaire

Référence M2J5Y5

Caractéristiques du projet

  • Adresse : Rue de la Fontaine 56670 Riantec
  • Surface nouvellement impactée par le projet : 35910 m²
    Bâti, voirie, espaces verts, remblais et bassins — temporaires et définitifs
  • Surface impactée totale, y compris l'existant : 35910 m²
    Bâti, voirie, espaces verts, remblais et bassins — temporaires et définitifs
  • Emprise au sol totale: 9980
    Projection verticale du volume de la construction, en comptant l'existant
  • La surface de plancher totale sera-t-elle supérieure à 10 000 m² ?: Non
    En comptant l'existant
  • Terrain d'assiette du projet: 35910
    Ensemble des parcelles cadastrales concernées par le projet

Cet avis est adressé à titre informatif au porteur de projet. Il ne vaut pas position de l’administration. En savoir plus.

Réglementations environnementales

➡️ Vous connaissez déjà ces obligations ?

Si vous avez déjà déposé un dossier ou réalisé les études environnementales nécessaires, vous pouvez nous l'indiquer ici :

Loi sur l'eau Soumis

Le projet est soumis à déclaration Loi sur l'eau.

Marche à suivre

Un dossier de déclaration Loi sur l’eau (également nommé « déclaration IOTA ») doit être constitué et déposé en ligne.

→ Délai d'instruction : 2 mois

Comment déposer un dossier Loi sur l'eau ?

1/ Se rapprocher d'un bureau d'études disposant d'une expertise « dossier Loi sur l'eau »

Il pourra réaliser les études qui conviennent et rédiger le dossier Loi sur l'eau.

2/ Déposer le dossier

Le dépôt peut se faire numériquement, via une procédure en ligne.

Si besoin, le porteur peut se rapprocher :

  • du service de la DDT(M) en charge de la Loi sur l’eau :
    DDTM du Morbihan
    Service Police de l’eau
    Email : ddtm-sbef@morbihan.gouv.fr
    Téléphone : 02 56 63 74 74

Comment l'instruction du dossier Loi sur l'eau se déroule-t-elle ?

Le délai d'instruction d'un dossier de déclaration Loi sur l'eau est de 2 mois, extensible en cas de demande de compléments.

Consultez notre article décrivant l'instruction Loi sur l'eau.

Sanctions en cas d'omission

S'il s'avère que le projet est réalisé sans autorisation du préfet, le responsable s'expose à des sanctions administratives et pénales, qui peuvent aller jusqu'à :

Détail des rubriques

Rubrique 3.3.1.0. de la nomenclature IOTA (annexée à l’article R214-1 du code de l’environnement)

Action requise :

Démontrer que le projet n'impacte pas plus de 1 000 m² de zone humide.

Pourquoi cette action est-elle requise ?

Au vu des informations saisies, le projet impacte une surface de plus de 1 000 m² et se situe sur une zone humide potentielle. Il est donc possible que plus de 1 000 m² de zone humide soient impactés par le projet, qui serait alors soumis à la Loi sur l'eau.

Comment déterminer si le projet est en zone humide ?

La recherche de zones humides se fait nécessairement par des études sur le terrain, confiées en pratique à des bureaux d'études spécialisés. Ils examinent les espèces végétales présentes, le type de sol, et le profil d'humidité sous la surface.

Les cartographies de zones humides potentielles servent d'alerte et d'aide aux porteurs de projet et administrations dans la recherche de zones humides.

Comment déterminer l'impact d'un projet sur une zone humide ?

Les impacts pris en compte dans la Loi sur l'eau :

  • incluent les destructions mais aussi les modifications du fonctionnement de la zone humide
  • qu'ils soient définitifs (construction, voirie) ou temporaires (remblais, drainage).

Ce travail est généralement confié à des bureaux d'études spécialisés.

Quel impact environnemental ?

Les zones humides ont un rôle primordial dans la préservation de la ressource en eau. Elles permettent le développement de la biodiversité ; elles préservent la qualité de l'eau en jouant un rôle de filtre ; et réduisent les impacts des inondations par leur effet « tampon » sur le niveau des rivières.

Le projet se situe dans une zone humide potentielle.

Rubrique 3.2.2.0. de la nomenclature IOTA (annexée à l’article R214-1 du code de l’environnement)

🔍 « Zone inondable » est ici entendue comme le lit majeur d'un cours d'eau, c'est-à-dire la zone atteinte par les eaux de la plus grande crue connue.

Pourquoi le projet n'est-il pas concerné ?

Le projet ne se situe pas en zone inondable.

Quel impact environnemental ?

En cas de débordement du cours d'eau, le bâti diminue la surface sur laquelle les eaux de la crue se répandent. Cela peut engendrer une augmentation des hauteurs d'eau et des vitesses d'écoulement, et ainsi rendre la crue plus destructrice.

Comment déterminer l'impact d'un projet sur une zone inondable ?

Un calcul de la diminution de surface d'expansion des crues causée par le projet doit être fait. Si cette surface dépasse 400 m², le projet est soumis à la Loi sur l'eau.

Cette tâche est généralement réalisée par un bureau d'études spécialisé.

Rubrique 2.1.5.0. de la nomenclature IOTA (annexée à l’article R214-1 du code de l’environnement)

🔍 Le seuil de 1 ha est entendu comme la surface totale du projet, y compris l'existant, augmentée de l'aire du bassin naturel dont il intercepte les écoulements. Ce n'est pas la surface de la parcelle qui est prise en compte, mais bien celle du projet.

Pourquoi le projet est-il concerné ?

Vu les informations saisies, la surface totale du projet est au moins de 10 000 m², le seuil est donc franchi.

Quel impact environnemental ?

Une surface imperméabilisée ne peut plus absorber l'eau pluviale et les écoulements provenant de l'amont. Les conséquences sont une plus grande quantité d'eau concentrée au point de rejet, entraînant une aggravation du risque d'inondation et de pollution.

Ci-dessus, le présent avis réglementaire rend compte des impacts sur zone humide, sur zone inondable, et sur l'écoulement des eaux pluviales.

Mais la Loi sur l'eau ne se réduit pas à ces trois catégories d'impact.

Le porteur de projet doit vérifier si le projet est concerné ou non par d'autres rubriques de la Loi sur l'eau. La nomenclature complète est disponible à cette adresse (pdf).

En particulier, il peut s'agir d'impacts :

  • sur cours d'eau (rubriques commençant par 3.1) ;
  • dûs à des forages (rubrique 1.1.1.0) ;
  • ou sur les milieux marins, en cas de proximité à la côte (rubriques commençant par 4.1).

Règlement de SAGE Action requise

Le projet se trouve dans le périmètre du Schéma d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SAGE) « Blavet » .

Le projet est susceptible d'être interdit.

Une action du porteur de projet est requise.

Marche à suivre

Pour être certain que son projet n’est pas interdit, le porteur doit s’assurer que celui-ci :

  • n’impacte aucune zone humide s’il est soumis à la Loi sur l’eau

Le porteur de projet doit mener des études sur les points cités précédemment, afin d'évaluer si le projet est autorisé.

Ainsi, il convient de :

1/ Se rapprocher d'un bureau d'études disposant d'une expertise environnementale et lui communiquer ces éléments.

Les études pourront révéler que le projet est interdit en l’état, qui devra donc être modifié pour respecter le règlement de SAGE.

2/ Se rapprocher de la structure en charge de l’animation du SAGE

Syndicat Mixte « Blavet Scorff Ellé Isole Laïta »
Téléphone : 02 97 32 50 34
Site web : https://www.bseil.fr/
Email : sage.blavet@bseil.fr


Sanctions en cas d'omission

S'il s'avère que le projet est réalisé sans respecter le règlement de SAGE, le responsable s'expose à des sanctions administratives et pénales, qui peuvent aller jusqu'à :

Détail des rubriques

Règle 3.1.1 du règlement du SAGE « Blavet »

Action requise :

Démontrer que le projet n’impacte aucune zone humide s’il est soumis à la Loi sur l’eau.

Pourquoi cette action est-elle requise ?

Le règlement du SAGE « Blavet », approuvé par arrêté préfectoral, interdit sur son périmètre tout projet impactant une zone humide s'il est soumis à la Loi sur l'eau, à l'exception de quelques cas précisés ci-dessous.

Or, au vu des informations saisies, le projet est soumis à la Loi sur l’eau (voir section « Loi sur l’eau ») et il se situe dans une zone humide potentielle. Il est donc possible qu’une zone humide soit impactée par le projet, qui serait alors interdit.

Quelles sont les exceptions à cette interdiction ?

Un projet soumis à la Loi sur l’eau impactant une zone humide peut être tout de même autorisé à certaines conditions, et en particulier :

  • s'il est déclaré d’utilité publique ou s’il présente un caractère d’intérêt général

Le porteur doit consulter le texte officiel et complet du règlement du SAGE.

Comment déterminer si le projet est en zone humide ?

Toute zone humide, même non inventoriée, est concernée par cette règle du SAGE.

La recherche de zones humides se fait nécessairement par une étude de terrain, confiée en pratique à un bureau d'études spécialisé. Celui-ci examine les espèces végétales présentes, le type de sol, et le profil d'humidité sous la surface.

Les cartographies de zones humides potentielles servent d'alerte et d'aide aux porteurs de projet et administrations dans la recherche de zones humides.

Quel impact environnemental ?

Les zones humides ont un rôle primordial dans la préservation de la ressource en eau. Elles permettent le développement de la biodiversité ; elles préservent la qualité de l'eau en jouant un rôle de filtre ; et réduisent les impacts des inondations par leur effet « tampon » sur le niveau des rivières.

Le projet se situe dans une zone humide potentielle.

Natura 2000 Soumis

Le projet est soumis à Natura 2000 — bien qu'il soit hors d'un périmètre Natura 2000 — parce qu'il est soumis à la Loi sur l'eau.

Marche à suivre

Une évaluation des incidences Natura 2000 (EIN) doit être réalisée et incluse dans le dossier Loi sur l’eau.

Comment réaliser une évaluation des incidences Natura 2000 ?

1/ Faire l'évaluation préliminaire des incidences du projet

Ce guide support est fourni par la DDTM 56.

Il fournit les étapes à suivre pour établir un dossier d'évaluation des incidences Natura 2000.

Si la première partie (sections 1 à 3), qui constitue une évaluation préliminaire, conclut à l'absence d'incidences, elle peut tenir lieu d'évaluation des incidences Natura 2000.

Dans le cas contraire, une évaluation plus poussée doit être conduite, selon la seconde partie du guide support.

2/ En cas d’incidences possibles ou avérées, se rapprocher d'un bureau d'études disposant d'une expertise environnementale.

Il est chargé de réaliser les études qui conviennent et de rédiger une évaluation des incidences Natura 2000 complète.

En cas de question, se rapprocher du service de la DDT(M) en charge de Natura 2000 :

DDTM du Morbihan
Service Eau Nature et Biodiversité
Email : ddtm-bmaf@morbihan.gouv.fr
Téléphone : 02 56 63 74 89

Comment déposer l’évaluation des incidences Natura 2000 (EIN) ?

L'EIN est à déposer avec le dossier Loi sur l'eau.

Le dépôt du dossier Loi sur l'eau peut se faire numériquement, via une procédure en ligne.

Si besoin, se rapprocher du service de la DDT(M) (Direction Départementale du Territoire et de la Mer) en charge de l'instruction :

DDTM du Morbihan
Service Police de l’eau
Email : ddtm-sbef@morbihan.gouv.fr
Téléphone : 02 56 63 74 74

Comment l'instruction se déroule-t-elle ?

L'évaluation des incidences Natura 2000 est une pièce obligatoire du dossier Loi sur l'eau. Son instruction se fait donc dans le cadre du dossier Loi sur l'eau, avec la même procédure et le même délai.

Le délai d'instruction d'un dossier de déclaration Loi sur l'eau est de 2 mois, extensible en cas de demande de compléments.

Consultez notre article décrivant l'instruction Loi sur l'eau.

Sanctions en cas d'omission

S'il s'avère que le projet est réalisé sans avoir déclaré d’évaluation des incidences Natura 2000 ou sans avoir respecté la décision de l’administration, le responsable s'expose à des sanctions administratives et pénales, qui peuvent aller jusqu'à :

Détail des rubriques

« Liste nationale » Natura 2000 (3° du I de l'article R414-19 du Code de l'environnement)

Pourquoi le projet est-il concerné ?

Au vu des informations saisies, le projet est soumis à la Loi sur l’eau (voir section « Loi sur l’eau »).

Or, tout projet soumis à la Loi sur l’eau, qu’il soit dans un site Natura 2000 ou non, est automatiquement soumis à évaluation des incidences Natura 2000.

Quel impact environnemental ?

En raison de la surface qu’ils impactent et de la fragilité des milieux où ils s’insèrent, les projets soumis à la Loi sur l'eau sont susceptibles d'avoir des impacts significatifs sur des espèces fragiles et leurs habitats.

Évaluation environnementale
(rubrique 39)
Non soumis

Le projet n’est pas soumis à Évaluation Environnementale au titre des seuils de surface plancher, d'emprise au sol et de terrain d'assiette.

Ce sont les plus fréquemment concernés par les projets de construction et d'aménagement ; ils sont regroupés dans la rubrique 39.

Le porteur de projet doit cependant vérifier si le projet est concerné ou non par d'autres rubriques de l'Évaluation Environnementale — voir section « Autres rubriques » ci-dessous.

⚠️ La « clause filet » peut être activée par un service instructeur examinant le projet, s’il estime que celui-ci est susceptible d’avoir des impacts notables sur l’environnement. Le projet serait alors contraint de se soumettre à examen au cas par cas.

Qu'est-ce que la « clause filet » ?

La « clause filet » est un dispositif par lequel certains projets, bien qu’en-deçà des seuils de la nomenclature de l’évaluation environnementale, doivent se soumettre à un examen au cas par cas — ce qui peut déclencher une procédure complète d’évaluation environnementale.

Cette clause est décrite à l’article R122-2-1 du code de l’environnement.

Comment la « clause filet » est-elle activée ?

C’est la première autorité administrative prenant connaissance du projet qui peut activer la clause filet. Elle le fait si le projet lui paraît susceptible d’avoir des incidences notables sur l’environnement ou la santé humaine.

Cette autorité administrative peut être par exemple :

  • la collectivité en charge de l’instruction du permis de construire ou d’aménager ;
  • la DDT(M) en charge de l’instruction d’un dossier Loi sur l’eau ou d’une évaluation des incidences Natura 2000.

La clause filet peut être activée pour tout projet, y compris pour des modifications de projet ou des extensions.

L’autorité a quinze jours à compter du dépôt du dossier ou de la demande pour informer le porteur de projet de sa décision motivée de soumettre le projet à examen au cas par cas. C’est alors au porteur de projet de saisir l’autorité en charge de l’examen au cas par cas.

À noter :le porteur de projet peut également saisir de sa propre initiative l’autorité chargée de l’examen au cas par cas, pour tout projet situé en-deçà des seuils de la nomenclature de l'évaluation environnementale.

Pourquoi un examen au cas par cas ?

Lors de l’examen au cas par cas d’un projet, l’administration décide s’il est soumis ou non à une procédure complète d’évaluation environnementale.

Cette décision est prise en 35 jours. Le porteur de projet peut ainsi planifier en amont et relativement rapidement les étapes réglementaires de son projet et les études à mener :

  • S’il est décidé que le projet est soumis à Évaluation environnementale, une étude d’impact devra être réalisée (durée : 1 an), et l’instruction du permis de construire ou d’aménager sera rallongée (durée : 7 à 12 mois) car elle inclura une enquête publique.
  • Dans le cas contraire, le projet sera libre d’obligations complémentaires au titre de l’Évaluation environnementale.

Détail des rubriques

Rubrique 39 a) de l’annexe à l’art. R122-2 du code de l’environnement

🔍 L’emprise au sol est la projection verticale au sol du volume de la construction, tous débords et surplombs inclus, au sens de l’article R*420-1 du code de l’urbanisme.

Pourquoi le projet n'est-il pas concerné ?

Au vu des informations saisies, l'emprise au sol totale du projet, y compris l’existant, est inférieure à 10 000 m². Il n’est donc pas concerné par cette rubrique de l’évaluation environnementale.

À noter : conformément au guide de lecture de la nomenclature, n’est pris en compte que le total de l’emprise au sol correspondant aux demandes d’autorisation postérieures au 16 mai 2017.

Rubrique 39 a) de l’annexe à l’art. R122-2 du code de l’environnement

🔍 La surface de plancher est la somme des surfaces closes et couvertes de chaque niveau de la construction, sous une hauteur de plafond supérieure à 1,80 m, au sens de l’article R111-22 du code de l’urbanisme.

Pourquoi le projet n'est-il pas concerné ?

Au vu des informations saisies, le projet crée une surface de plancher inférieure à 10 000 m². Il n’est donc pas concerné par cette rubrique de l’évaluation environnementale.

À noter : conformément au guide de lecture de la nomenclature, n’est pris en compte que le total de la surface plancher correspondant aux demandes d’autorisation postérieures au 16 mai 2017.

Rubrique 39 b) de l’annexe à l’art. R122-2 du code de l’environnement

🔍 Le terrain d’assiette est l’ensemble des parcelles cadastrales concernées par l’opération. S’il n’y a qu’une parcelle, la surface du terrain d’assiette est donc la surface totale de la parcelle cadastrale d’implantation du projet.

Pourquoi le projet n'est-il pas concerné ?

Au vu des informations saisies, le projet a un terrain d’assiette inférieur à 5 ha. Il n’est donc pas concerné par cette rubrique de l’évaluation environnementale.

Ci-dessus, le présent avis réglementaire rend compte des seuils de surface plancher, d'emprise au sol et de terrain d'assiette. Ce sont les plus fréquemment concernés par les projets d'aménagement, ils sont regroupés dans la rubrique 39.

Mais l'Évaluation Environnementale s'applique également à des projets plus petits, s'ils sont de nature spécifique.

Cela concerne notamment :

  • les terrains de camping et villages de vacances (rubriques 42 et 40) ;
  • les aires de stationnement de plus de 50 places si elles sont ouvertes au public (rubrique 41) ;
  • les projets impliquant un boisement ou un déboisement (rubrique 47) ;
  • les infrastructures ferroviaires (rubrique 5).

Le porteur doit ainsi vérifier si le projet est concerné ou non par d'autres rubriques de l'Évaluation Environnementale. La nomenclature complète est disponible à cette adresse.

Espèces protégées

Tout projet qui détruit ou perturbe une espèce animale ou végétale protégée est interdit, et ne peut être réalisé qu'à condition d’obtenir une dérogation « espèces protégées ». C'est également le cas des projets qui impactent certains habitats de ces espèces.

Cette réglementation s'applique en toutes circonstances, même si le projet n'est soumis à aucune autre réglementation environnementale ou procédure, telle qu’étude d'impact ou évaluation des incidences Natura 2000.

➡️ Vous connaissez déjà ces obligations ?

Si vous avez déjà déposé un dossier ou réalisé les études environnementales nécessaires, vous pouvez nous l'indiquer ici :

EnvErgo est un service du Ministère de la Transition Écologique. Il vise à aider les acteurs de l'aménagement en phase amont de leurs projets.

Les simulations sont établies à titre informatif, et ne valent pas position de l'administration. Elles ne couvrent pas l'exhaustivité des réglementations ni la spécificité de certains projets.

Les porteurs doivent échanger directement avec les autorités administratives compétentes (collectivité en charge de l'urbanisme, DDT(M), DREAL…) pour obtenir une position officielle.

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